jeudi 15 septembre 2011

Des barbouzes infiltrés chez les coutumiers de Gomen...

Un camarade a écrit ceci sur internet...

Il est temps de finir avec les baroudeurs du colonialisme français. Ils ont assissiné Pierre Declercq et maintenant on trouve un de ces énergumènes qui est entrain de semer la zizanie chez les coutumiers de Kaala-Gomen.
Jean-Claude Mantion, habitué des coups bas en Afrique notamment en tant que colonel de la DGSE dans l'affaire du génicide de Rwanda, a aussi participé au soutien début 1998 au dictateur mobutu contre le Congo de Laurent-Désiré Kabila.

FOUTONS LUI LES PIEDS DANS LE C.. ET QU'IL S'EN AILLE EN DEHORS DE KANAKY.

Lu dans http://www.lnc.nc/article/pays/chomage-technique-au-centre-de-ouaco

Deux personnages qui soulèvent des questions

A entendre les uns et les autres, le dossier a des allures de vieux polar. A l’issue du conseil d’administration de la SMSP, Victor Tutugoro s’est interrogé à voix haute sur le profil des mandataire et conseiller des coutumiers, Laurent Ouillemon et Jean-Claude Mantion, « tous deux membres du directoire du RPC », le parti politique de feu Jacques Lafleur. « Ce même Mantion, poursuit l’élu du Nord, était membre du contre-espionnage français, de la DGSE. Il a exercé notamment en Afrique. » Contacté, le Rassemblement pour la Calédonie assure n’avoir « rien à voir avec cette histoire », selon Jean-Luc Régent. D’ailleurs, ces deux personnalités aujourd’hui citées « ne sont plus dans le nouveau bureau du mouvement ».
Rencontrés, les intéressés, qui ne veulent pas pour l’instant s’exposer, admettent avoir pris leurs distances aujourd’hui avec le RPC. « On défend les intérêts des coutumiers, argue Jean-Claude Mantion, qui note avoir rejoint l’initiative à Gomen « par amitié pour Laurent » Ouillemon, originaire de Saint-Louis au Mont-Dore. Le pedigree du premier est digne d’un film d’action : taper le nom de « Jean-Claude Mantion » sur le Net le fait apparaître comme « agent des services secrets », « colonel de la DGSE », ou encore « conseiller d’un président en Centrafrique ».
« J’ai été militaire, remarque sobrement l’ancien haut gradé, proche du double mètre sous la toise. Oui, en Afrique. » Point. Son implication dans cette affaire pose légitimement question. « On suit ce que la chefferie nous dit, relève son ami Laurent Ouillemon. L’absence de redistribution et l’état dans lequel ils vivent là-haut » ont, selon lui, suscité l’étincelle et déclenché le mouvement. A l’heure actuelle, le mandataire et le conseiller estiment que les coutumiers sont soutenus par une cinquantaine de clans à Gomen.